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Arts / Culture

Street Art Paris

Street-art, le premier réseau social ? 

18 avril 2022
portrait_femme_brune_veste_rose_sourire

“L’humour, avec la bouffe, c’est ce qui nous réunit le plus !” – Klaire fait Grr

19 février 2022
DJ_femme_platines_fleurs

Quelle fête pour demain ? Avec Hawa Sarita, poétesse & DJ

12 novembre 2021
graffiti_art_urbain_paris_QRcode_13eme

Avec la femme qui a mis des QR codes dans ta rue

20 octobre 2021

J’ai testé la pole dance

13 juillet 2021
troupe_théâtre_acteurs

Un dimanche chez les Saint-Vincent

1 juillet 2021

Mais qui tient les rênes de notre architecture ?

7 juin 2021
femmes_torse_nues_pancartes_culture_noir_blanc

La culture oublie sa jeunesse

5 mai 2021

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[Le coup de coeur de notre journaliste Juliette Sa [Le coup de coeur de notre journaliste Juliette Sananes 💜]

- L'Amour de @disizfr 💿
Si on continue à chanter l’amour dans toutes les langues et à toutes les époques, c’est bien parce qu’il est partout. Presque tous les sons parlent d’amour, de manière aussi évidente que dans Someone Like U ou J’irai chercher ton coeur (je vous jure que je vais super bien), ou plus discrète avec quelques « elle », « lui » et autres déterminants glissés au détour de quelques punchlines. Alors, forcément, on pensait avoir tout entendu et le connaître par cœur.

Et puis y a eu L'Amour. Le fait d’en faire un album entier de manière aussi explicite lui donne un nouveau souffle : l’amour n’est plus juste un ressenti capturé à un instant précis. C’est un processus. Oui, on peut parler d’amour devant un coup de foudre ou un gros chagrin. Mais plus qu’un état, c’est un sentiment qui entraîne toute une série d’étapes. Un genre de réaction en chaîne. La rencontre, la légèreté du début. Le temps du love hardcore avec ses promesses et ses je t’aime. La routine qui s’installe, le futur qui fait la cour, les disputes pour une chaussette qui traîne, le temps qui tue l’amour. Les calculs coûts-avantages, la chute de la relation qui arrive, au ralenti, le souvenir qu’on essaye d’en garder comme seule manière de la sauver. La tristesse, la mélancolie. Et puis la réparation. Les apps, le beaugarçonnage. Les rencontres légères, solaires et faciles. Jusqu’à la nouvelle relation, qui ramène à l'étape initiale.

L’Amour (l'album) est sincère, juste, lucide. Aussi vrai que le vrai. Sa force est de suivre une progression logique, tout en pouvant s’écouter en fonction des étapes qu’on est justement en train de parcourir. Et finalement, c’est plutôt rassurant de se dire que l’amour consiste juste en une chorégraphie dont on répètera toujours les mêmes mouvements, auxquels on ajoutera simplement quelques variations. Comme un guide à l’usage de celleux qui essayent de comprendre des situations, mettre des mots sur des ressentis ou donner des impulsions pour agir, grâce à L'Amour, on est prêt.e.s pour le vivre. Merci Disiz.
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#nousfomoreco #coupdecœur #lamour #disiz #musique #album
Et si on vous emmenait à Valparaiso, au Chili ? 🇨🇱

Là-bas, 50% des street artistes sont des femmes et le street art y est interdit sans autorisation. Pourtant, dans les rues colorées de Valparaiso et dans ce pays touché par la dictature et des périodes politiques sombres, le street art est un outil essentiel de revendication pour le peuple. On envahit la rue et on investit les murs pour défendre sa liberté. C'est d'abord dans la rue qu'on fait passer des messages et qu'on lutte, en manifs ou sur les murs. Après la dictature de Pinochet, de nombreux chiliens qui s'étaient exilés en Europe reviennent au Chili et à Valparaiso avec dans leurs valises, le hip-hop et le street art. Les bombes et les couleurs remplacent alors la censure et l'horreur. Aujourd'hui, aucune ville dans le monde ne rassemble autant de street art que Valparaiso et des artistes du monde entier viennent y peindre. Et le street art est devenu un atout touristique de la ville, lui redonnant des couleurs. Les deux collines qui en comptent le plus, Alegre et Concepción, ont d'ailleurs rejoint le patrimoine mondial de l'UNESCO, et la ville paye même désormais des artistes pour la décorer. Fresques écologistes, ode à la nature, paysages et histoire du Chili, amours plurielles, messages politiques et engagés, on vous laisse découvrir ces œuvres multiples, que l'on croise à chaque coin de rue. Et pour prolonger les réflexions de notre journaliste Simon dans son dernier article sur le street art comme réseau social, vous remarquerez aussi que, presque toujours, les comptes Instagram des artistes sont indiqués quelque part sur la fresque, prolongement de l'espace réel par le virtuel, infini. Et autre espace de reconnaissance pour les artistes de Valparaiso, désormais invités à peindre dans le monde entier.
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📷 : @juliettemantelet
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#nousfomo #article #streetart #streetarteverywhere #valparaiso #chili #voyage #art #politique #revendication #ecologie #combat
[Street-art, le premier réseau social ?] Notre [Street-art, le premier réseau social ?]

Notre journaliste Simon est parti avec une mission : interroger les artistes sur la question du lieu d'exposition de leur art (la rue, le café,.. ). Dans quelle mesure est-il subi ou choisi ? Il les a également interrogés sur leur rapport à Instagram, puisqu'on peut considérer la plateforme comme un espace public numérique. Dans ce nouveau reportage, il se rend au week-end portes-ouvertes du Dancing Underground, un ancien hôtel parisien du 13e arrondissement transformé en bar, investi par le collectif d’artistes de street-art « Les 25 du 104 ». En discutant avec les graffeurs présents sur place, il se demande : et si le street-art était en fait le premier réseau social ? Libre, inclusif, convivial et surtout, débarrassé des algorithmes arbitraires.
📸 : @bluebicycleinparis 
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À lire en entier sur www.nousfomo.fr
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#nousfomo #article #streetart #streetartiste #streetartparis #artparis #parisianart #fomo #fomogeneration #artists #artistsoninstagram #painter #paint #draw #drawing #réseausocial #instagram #social #socialnetwork #algorithm
[4 coups de 🧡 de Juliette] - Le film Goliath [4 coups de 🧡 de Juliette] 

- Le film Goliath par Frédéric Tellier 🎟️
C'est un film qui donne envie d'agir et de tout changer (oui, j'ai encore de l'espoir). Un Don't Look Up à la française avec des airs d'Erin Brockovich. Une représentation glaçante de notre monde en pleine crise écologique, où l'argent achète tout... Frédéric Tellier réussit même la prouesse rare de nous faire haïr Pierre Niney, à contre emploi ici, brillant et énervant à souhait dans son rôle de lobbyiste impeccable de produits agrochimiques mortels. Mais le film nous offre avec subtilité la possibilité de comprendre comment on peut se retrouver de ce côté-là, et nous aide ainsi à déconstruire les discours bien huilés des lobbyistes. Gilles Lellouche, lui, est inoubliable en avocat de la défense, face à des parents qui abandonnent, et je n'oublierai pas le regard final d'Emmanuelle Bercot, et ses mots : « moi j'y crois ». L'espoir naîtra des mouvements citoyens.

- Le roman Le goût des garçons 📙
@joy.majdalani exprime le désir comme personne dans ce premier roman, avec son écriture brut, honnête. Elle ne cherche pas à atténuer ou enjoliver la réalité par moult tournures et images. Elle va droit au but, le désir c'est cru, c'est viscéral. On réalise au fil des pages que nous étions nous aussi cette  adolescente prête à tout pour plaire, si dure envers elle-même. Qui ne se voit et ne se construit qu'à travers le regard masculin. Et se demande sans cesse : Pourquoi moi je suis seule ? Est-ce qu'un jour je plairais à un garçon ? Dans une incessante comparaison, "à cause des garçons". La force du roman de Joy, c'est de nous faire mesurer le chemin parcouru, la déconstruction en cours chez chacune de nous depuis cette cruelle adolescence passée à attendre la validation des autres et espérer, surtout, que les jeunes générations se désirent autrement, plus sainement et égalitairement. Joy Majdalani remet le désir des femmes au centre. Être une pute, elle l'accepte, fièrement. Pourquoi devrions-nous rougir de nos désirs ?

- Le musée d'art @masp de São Paulo 🇧🇷 J'ai eu la chance récemment de découvrir le MASP, superbe musée de São Paulo, au design cubique futuriste...

(La suite en commentaires)
[Interview Klaire fait Grr : « L’humour, avec l [Interview Klaire fait Grr : « L’humour, avec la bouffe, c’est ce qui nous réunit le plus ! »]

J’ai commencé 2022 avec éclat en me rendant au spectacle de Klaire fait Grr, Le Temps des Sardines. Je suis ressortie avec un sourire jusqu’aux oreilles et une envie féroce de refaire le monde. Et avec déjà une seule idée en tête : parler à tout le monde de ce spectacle. Dans la rue, en sortant, j’ai dit à mon amie en parlant de Klaire, « Tu vois, ça, c’est le genre de personne avec qui j’ai envie d’aller boire des bières ». À défaut, je lui ai proposé une interview au théâtre, un mois plus tard.

« Je ne dis pas que l’humour doit être absolument un brûlot pour qu'il soit utile. Par contre, c’est vrai que les blagues sur les trottinettes et les véganes, moi je n’en peux plus. Parce qu’en fait c’est politique de faire ça, c’est un engagement. C’est un contre-engagement de merde. Je pense qu’il y a une espèce de faux-neutre dans l’humour, où l’on fait croire que raconter des blagues sur les véganes et les trottinettes, c’est neutre. Mais ça ne l’est pas. C’est déjà un choix, alors qu’il y a le monde qui brûle, l’apocalypse climatique et Gérald Darmanin, de faire des blagues sur les véganes. Monter sur scène, c’est une responsabilité. » - @klairefaitgrr
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Interview à lire en entier sur www.nousfomo.fr
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[Post-partum et écriture, les Ateliers des Mères [Post-partum et écriture, les Ateliers des Mères]

« Je me suis rendu compte après mon accouchement par césarienne que je ne savais rien, je ne savais pas vraiment comment ça se passait, j’ai été très surprise par les douleurs que j’ai eues et je me suis demandé pourquoi on ne nous préparait pas à ça aussi. On aurait dû m’apprendre ce que va faire l’anesthésiste, comment ça se passe dans un bloc, les douleurs que tu peux ressentir. Ça n’est pas juste on t’ouvre et on te recoud. […] J’étais seule dans mes expériences et je trouvais ça hallucinant. Je pensais à toutes les femmes enceintes, qui avaient accouché avant moi, et qui avaient dû elles aussi ressentir cette solitude prononcée. » 

@alicepostpartum sur son compte Instagram, et à travers ses ateliers d’écriture pour les mères, se bat pour la reconnaissance de tous les accouchements dans leurs ressentis multiples. 
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Un portrait à lire en entier sur www.nousfomo.fr (lien en bio)
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