Tribune. Moi aussi j’ai vu Don’t Look Up
Don’t Look Up symbolise l’idée de ne pas regarder là où il faut. De conserver notre routine, trop confortable pour être bousculée. De savoir qu’il faudrait changer tout en faisant comme si nous ne le savions pas. D’être dans le déni. De sentir la fatalité nous frapper de plein fouet avant même d’avoir essayé. C’est aussi le cri de ralliement de ma génération que j’attendais tant.
Ramassage des déchets. Et après ?
Une opération de ramassage de déchets sur une plage, ce n’est pas juste collecter des déchets et puis les jeter. Catégorisation, tri, récolte de données, revalorisation, éducation et sensibilisation. C’est là que le ramassage prend tout son sens.
Mais qui tient les rênes de notre architecture ?
Vous saviez vous qu’aujourd’hui le sable est la ressource la plus utilisée de la planète après l’eau ? Qu’il est actuellement en voie de disparition ? Et qu’il existe même des trafics illégaux de sables ? Et vous êtes vous déjà demandé pourquoi on a construit les villes différemment dans le sud et dans le nord ? Ou à quoi ressemblera la ville de demain ? Toutes les réponses aux questions que vous ne vous êtes jamais posées, c’est ici et c’est grâce à Lucas, 25 ans, architecte.
Coup de soleil sur nos vins
Qui aime le vin chaud par ici ? Dénoncez-vous. Non, évidemment on plaisante, c’est très bon l’hiver quand c’est bien dosé avec juste ce qu’il faut de cannelle, un zeste d’orange et surtout quand ça sert de source de chaleur pour nos doigts gelés. Mais avec cette histoire de réchauffement climatique, il se pourrait bien que nos vins soient fondamentalement bouleversés.
Avec Antoine Abou, à la découverte de l’hydrogène
Antoine Abou, 23 ans, sillonne l’Europe en vélo électrique pour aller à la rencontre de celles et ceux qui feront le monde de demain. Et plus précisément, pour devenir incollable sur l’hydrogène, cette solution que l’on présente souvent comme “l’avenir” pour notre planète.
Journal de guerre écologique
Journal de guerre écologique est une lecture tout sauf apaisante. Ce genre de lecture dont on ne ressort pas indemne. Et tant mieux.
Tribune À notre génération 2/2
Nous sommes de celles et ceux qui ont connu l’horreur du 13 novembre 2015 et pour qui le nom Bataclan n’aura plus jamais la même résonance, de celles et ceux qui luttent pour la lumière, celle de nos bars et de nos lieux culturels face à l’obscurantisme ou un virus persistant.
Tribune À notre génération 1/2
À défaut de nous permettre de vivre, 2020 aura marqué nos vies. Et ce, au fer rouge, à coup de ”n’oublie jamais que rien n’est prévisible, car tout ce que tu connais, désormais, peut voler en éclat”. Nous sommes la génération des héritier.e.s de combats.