Amanda
Un film poignant sur le deuil et son lent processus. Un film sorti tout juste trois ans après les attentats de novembre 2015, ces tragédies qui ont bouleversé notre monde à jamais, bien que l’on soit aujourd’hui retourné à nos terrasses et que l’on ne sursaute presque plus quand un moteur pétarade, qui transforme résolument celle de David et Amanda. C’est un film, surtout sur la vie qui reprend son cours. Toujours.
« La clef du bien vivre post-partum, c’est la communication ».
C’est un don précieux que m’a fait Clothilde en me livrant le témoignage de son post-partum. À 25 ans, on ne m’en avait jamais parlé comme ça.
« Rentrer, c’est comme un deuil. Le deuil de ta vie là-bas. »
Après plusieurs mois passés à l’étranger, dans une autre vie, la réalité du retour n’est jamais facile. Mais on n’en parle pas. C’est dur de dire à celleux qui nous envient, ou à nos proches ravi.e.s de nous retrouver, « je veux déjà repartir ».
Les Açores, voyage au milieu de l’Atlantique
On se pose sur l’île de São Miguel, à Ponta Delgada, un point minuscule sur les cartes. Le ciel nous tombe sur la tête. Impossible de faire demi-tour, nous sommes littéralement au milieu de rien. Ou plutôt si, de l’Océan tumultueux auquel nous voilà livré.e.s.
Tenir debout dans la nuit
Tenir debout dans la nuit est une recommandation aussi nécessaire pour les jeunes en construction que pour les adultes en déconstruction. Éduquons autrement.
Le Podcast A.M.I.E.S
Ce qui est fascinant, c’est que l’écoute de ce podcast permet de renouveler notre intérêt pour Friends. On a envie de regarder à nouveau certains épisodes que l’on connaît pourtant par cœur.
Journal de guerre écologique
Journal de guerre écologique est une lecture tout sauf apaisante. Ce genre de lecture dont on ne ressort pas indemne. Et tant mieux.
Le Podcast Salut, ça va ?
Avec Salut, ça va ? le domaine de la santé mentale, pourtant technique, devient accessible à tous. C’est le podcast à envoyer à des ami.e.s à qui l’on veut du bien.
Tribune À notre génération 2/2
Nous sommes de celles et ceux qui ont connu l’horreur du 13 novembre 2015 et pour qui le nom Bataclan n’aura plus jamais la même résonance, de celles et ceux qui luttent pour la lumière, celle de nos bars et de nos lieux culturels face à l’obscurantisme ou un virus persistant.