Après Mélancolie Heureuse en 2018, Qu’en restera-t-il en 2020, Tim Dup sort le 11 juin dernier son troisième album La Course Folle. Et c’est d’une douceur rassasiante. Privé.e.s de destinations depuis presque deux ans, flottant.e.s entre les permissions d’1km comme de minuit, on se laisse enfin emporter par cette invitation à l’excursion. À la liberté retrouvée.
Dans cette “urgence du présent”, comme Tim le dit si bien sur son Instagram, sa gourmandise à l’italienne nous dévore, on se balade dans Napoli sur des sonorités d’été. La faim nous dévore depuis si longtemps. Et on la partage, le temps d’une rencontre avec Anaïs Demoustier, Aurélie Saada, Alexandre Tharaud, Thomas Enhco et Saâne. Qu’il soit noir ou rêvé, le soleil s’incarne symbolique persistante comme une métaphore filée dans l’œuvre de Tim Dup, nous signifiant que la vie a repris et qu’il est temps d’en profiter. Tout l’été.
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